Antoine Peretti lundi à Azilone célébrant sa première messe dans son église
- Qu’avez- vous ressenti au cours de cette journée ?
- Pour tout vous dire, tout est allé tellement vite que je n’ai pas eu le temps de songer à quoique ce soit. J’ai eu, peut-être, quand j’étais à terre, un court instant pour y penser mais j’ai été, comme vous pouvez le comprendre, pris par la cérémonie et ce qu’elle représente.
- On dit que l’on n’a rarement vu autant de monde à la cathédrale d’Ajaccio.
- Pour n’oublier personne, je n’avais guère envoyé de cartons d’invitations. J’avais invité les élus et prêtres. Pour le reste, tout le monde a été convié. J’ai une pensée particulièrement pour tous ceux qui m’ont aidé dans cette journée, notamment, la population d’Azilone, qui s’est beaucoup investie. Et j’ai été, bien entendu, touché par le fait de voir un si grand monde.
- Vous êtes, également, maire de votre commune. Une tâche que vous comptez poursuivre ?
- Bien sûr ! Je crois qu’il n’y a aucun obstacle à ce que j’occupe les deux fonctions. Vous savez, je l’occupais déjà en étant diacre. Parfois, les gens qui ne me connaissent pas m’observaient attentivement quand je célébrais un mariage, en mairie, puis à l’église. Certains ont même dit, un jour. « U merre hè u fratellu di u prête. » cela fait sourire et c’est une anecdote que j’aime souvent raconter. Il n’y a aucun conflit à Azilone, aucune animosité, la commune est gérée avec sérénité. Il n’y a donc pas de raison que j’arrête cette fonction.
- Vous voilà officiellement prêtre. Qu’est-ce qui va changer aujourd’hui ?
- J’ai été ordonné diacre en 1988. Depuis cette date, je n’ai cessé de servir Dieu et d’aider les fidèles. Depuis trente ans, j’ai été sur le terrain. Ce qui va réellement changer, c’est le fait de dire la messe, de procéder au sacrement et de confesser. Je vais continuer à servir Dieu et mon prochain, avec la Grâce de notre Seigneur.
- Pour tout vous dire, tout est allé tellement vite que je n’ai pas eu le temps de songer à quoique ce soit. J’ai eu, peut-être, quand j’étais à terre, un court instant pour y penser mais j’ai été, comme vous pouvez le comprendre, pris par la cérémonie et ce qu’elle représente.
- On dit que l’on n’a rarement vu autant de monde à la cathédrale d’Ajaccio.
- Pour n’oublier personne, je n’avais guère envoyé de cartons d’invitations. J’avais invité les élus et prêtres. Pour le reste, tout le monde a été convié. J’ai une pensée particulièrement pour tous ceux qui m’ont aidé dans cette journée, notamment, la population d’Azilone, qui s’est beaucoup investie. Et j’ai été, bien entendu, touché par le fait de voir un si grand monde.
- Vous êtes, également, maire de votre commune. Une tâche que vous comptez poursuivre ?
- Bien sûr ! Je crois qu’il n’y a aucun obstacle à ce que j’occupe les deux fonctions. Vous savez, je l’occupais déjà en étant diacre. Parfois, les gens qui ne me connaissent pas m’observaient attentivement quand je célébrais un mariage, en mairie, puis à l’église. Certains ont même dit, un jour. « U merre hè u fratellu di u prête. » cela fait sourire et c’est une anecdote que j’aime souvent raconter. Il n’y a aucun conflit à Azilone, aucune animosité, la commune est gérée avec sérénité. Il n’y a donc pas de raison que j’arrête cette fonction.
- Vous voilà officiellement prêtre. Qu’est-ce qui va changer aujourd’hui ?
- J’ai été ordonné diacre en 1988. Depuis cette date, je n’ai cessé de servir Dieu et d’aider les fidèles. Depuis trente ans, j’ai été sur le terrain. Ce qui va réellement changer, c’est le fait de dire la messe, de procéder au sacrement et de confesser. Je vais continuer à servir Dieu et mon prochain, avec la Grâce de notre Seigneur.